Un film de Chuck Norris

Los Angeles. Des gangs de trafiquants de drogue parfaitement organisés et armés disputent la suprématie de la rue aux forces de l'ordre mal équipées et peu nombreuses. Dans cet enfer de violence, le détective Mike Harrigan et son équipe mènent une guerre sans merci contre les sbires de King Willie. Mais bientôt les deux hommes se découvrent un ennemi commun, un tueur invisible et invulnérable qui décime les rangs des dealers et des flics.... Généralement, lorsqu'on pense à Predator, cela donne deux chemins de pensées bien distinctes. Les plus jeunes penseront à Alien VS Predator, vieille arlésienne entretenue pendant des années sur papier grâce à un comics assez bien réalisé puis concrétisée sur grand écran à deux reprises. La première version essayait d'ailleurs de rendre hommage dans un joyeux imbroglio aux deux univers des deux franchises, mais en si peu de temps et avec un scénario si léger qu'un jeu vidéo du type altered beast paraissait plus consistant à pratiquer que la vision de cet obscure série B. Malgré tout, avec le temps et de l'indulgence, on apprécie de voir en un seul film Lance Herriksen, transfuge de la quasi-totalité des premiers Alien, une tapée de Predator se prenant pour des drag queens vu les couleurs flashies la plupart du temps arborées, un temple maya perdu en plein pôle et qui se prend lors de ses moments perdus pour un rubix cube, une reine Alien enchaînée qui terminera sa course en se prenant pour un T-Rex réchappé de Jurassic Park (quand on est enfermée, faut bien s'occuper et quoi de mieux que de se passer les rondelles de papy Spielberg en boucle....) et une scène de bravoure final aussi jouissive qu'absurde du type « Houga ! Je respecte le guerrier qui sommeille en toi, femme. Pour la peine, je te fais un marquage tribal qui te permettra de faire ta belle dans la cour de récré. Houga bis ! ». Je passerais sur le dernier plan pour ceux qui n'en connaîtrait pas la substance et conclurait sur cet opus en ayant le courage de dire que l'on s'amuse bien, du moment que l'on prend tout ça au second degré. Peut être de quoi faire un Popcorn Reborn dans quelques temps (en cas de défection, je reviendrais en détail sur le film) car plus pop que ça, difficile de faire mieux pour les années 2000.

Chuck Norris Facts

Ce site vous propose de recenser entièrement en français les Chuck Norris Facts qui foisonnent sur le web anglophone Les Chuck Norris Facts sont des faits que l'on attribue à l'acteur américain Chuck Norris et font éloge de sa virilité exacerbée, de sa maîtrise des arts martiaux, de ses méthodes radicales pour résoudre les problèmes (à coup de poings, de coups de pieds circulaires et autres bottages de cul) et de sa toute puissance qui en fait l'être le plus puissant de cette planète (et a fortiori de l'univers) loin devant Dieu, Superman ou autres Hulk. Vous pouvez par ailleurs consulter le site original, en anglais bien évidemment.

Ce site vous propose donc une version français de ces Chuck Norris Facts et vous en propose de nouveaux. Vous pouvez par ailleurs en proposer vous même. En parcourant ces Chuck Norris Facts vous pourrez remarquer que vous disposez de liens (+), (++) et (+++) qui vous permettent de voter pour l'entrée proposée. Afin de ne pas vous attirer les foudres de Chuck Norris, ce qui s'avèrerait être fatal pour vous, nous ne vous permettons pas de voter négativement sur un fait le décrivant. Choisissez donc le nombre de "+" que vous souhaitez attribuer à l'entrée souhaitée en fonction de son niveau de véracité ou de drôlitude (si si ça existe). Si vous estimez que l'un de ces faits est indigne de figurer sur ce site et que la personne l'ayant validée mérite une bonne correction par Chuck Norris cliquez alors sur "Berk"

Désormais, et c'est nouveau, vous pouvez également découvrir les facts en images! Parcourez les créations envoyées par nos visiteurs et abordez une nouvelle manière d'appréhender les facts! Et n'hésitez pas à faire preuve de créativité en nous envoyant les votres. Vous pouvez d'ailleurs aussi noter ces images entre 1 et 5 en fonction que vous l'aimiez (5) ou pas (1). Mais rappelez vous, Chuck seul reste le dernier juge... Les chiffres limites cabalistiques situés à coté de la barre de vote sont en fait l'appréciation générale des visiteurs sur le Chuck Norris Fact considéré. Le premier chiffre indique le nombre de points (équivalent au nombre de + ou de points) enregistré pour le fait considéré. Le second chiffre indique la moyenne et en prend donc en compte le nombre de votes reçus pour cette entrée. Pour les facts, ces moyennes s'échelonnent entre 3 (car il semble dangereux pour notre santé à tous de donner une note plus basse à un fait concernant Chuck Norris lui même) et 9.99 (car l'entrée ne saurait être au moins aussi parfaite que Chuck Norris).

Offrez-vous un Chuck Norris en Origami

L'origami, c'est cet art du pliage qui ouvre généralement un monde de patience et d'émerveillement.Chuck Norris représenterait tout le contraire. Certes, cet homme dispose de qualités indéniables, bien que le sens de l'humour semble lui faire défaut, surtout quand un livre est sorti pour raconter les 400 histoires les plus incroyables sur cet homme. Car « Chuck Norris a déjà compté jusqu’à l’infini. Deux fois. » Et ce n'est pas rien.C'est probablement fort de cette passion pour l'homme Norris, que Billybob884, un des internautes de Deviant Art a profité, durant plusieurs semaines d'un montage extra : faire une figurine de Chuck Norris en papier.Bon, ce n'est pas réellement de l'Origami, mais le concept était particulièrement idiot. Vous pouvez d'ailleurs en retrouver les différentes étapes sur le fichier PDF. Et les pièces qu'il faudra coller à celle-ci.

Chuck Norris l'homme

Faute de pouvoir courir ce week-end au festival de Quend, fier repaire de la meute grolandaise, une tournée des nanars s’impose sur la grille cathodique. Pourquoi ne pas commencer par « Walker, Texas Ranger » (TF1, 13 h 25), histoire de se gausser de ce gros naze de Chuck Norris. Puis continuer de piaffer sur les blondasses choucroutées et permanentées de « Las Vegas » (14 h 15) et les costards hallucinants de « Jamie Bionic Woman » (15 h 05).Tout en zappant sur les ringards people de « Stars et fortunes » (M6, de 14 h 55 à 17 h 20) et les comiques troupiers de la « Star Academy » (TF1, 17 h) , on se mettra en condition pour attaquer « Mon curé chez les nudistes » (TMC, 20 h 45), franc sommet de la franchouillardise auquel Paul Préboist prête son incomparable faconde. Quel beau dimanche que voilà !

La Filmographie de Chuck Norris

* 1969 : The Wrecking Crew, de Phil Karlson
* 1972 : La Fureur du dragon (Meng long guojiang), de Bruce Lee
* 1973 : The Student Teachers, de Jonathan Kaplan
* 1974 : Slaughter in San Francisco, de Lo Wei
* 1977 : Breaker! Breaker!, de Don Hulette
* 1978 : Le Commando des tigres noirs (Good Guys Wear Black), de Ted Post
* 1979 : A Force of One, de Paul Aaron
* 1980 : La Fureur du juste (The Octagon), de Eric Karson
* 1981 : Dent pour Dent (An Eye for an Eye), de Steve Carver
* 1982 : Horreur dans la ville (Silent Rage), de Michael Miller
* 1982 : L'Exécuteur de Hong Kong (Forced Vengeance), de James Fargo
* 1983 : Œil pour œil (Lone Wolf McQuade), de Steve Carver
* 1984 : Portés disparus (Missing in Action), de Joseph Zito
* 1985 : Portés disparus 2 (Missing in Action 2: The Beginning), de Lance Hool
* 1985 : Sale temps pour un flic (Code of Silence), de Andrew Davis
* 1985 : Invasion U.S.A., de Joseph Zito
* 1986 : The Delta Force, de Menahem Golan
* 1986 : Firewalker, de J. Lee Thompson
* 1988 : Portés disparus 3 (Braddock: Missing in Action III), de Aaron Norris
* 1988 : Héros (Hero and the Terror), de William Tannen
* 1990 : Delta Force 2: The Colombian Connection, de Aaron Norris
* 1991 : L'Arme secrète (The Hitman), de Aaron Norris
* 1992 : Sidekicks: de Aaron Norris , Beau Bridges, Mako, Jonathan Brandis, Joe Piscopo
* 1993 : Walker, Texas Ranger (Walker, Texas Ranger), de Christopher Canaan, Leslie Greif et Paul Haggis (série télévisée)
* 1993 : Wind in the Wire (TV)
* 1994 : Walker Texas Ranger 3: Deadly Reunion, de Michael Preece
* 1994 : Hellbound, de Aaron Norris
* 1995 : Top Dog, de Aaron Norris
* 1996 : Lords of Tanglewood, de Aaron Norris
* 1996 : Chucky la nourrice, de Aaron Norris
* 1996 : L'Esprit de la forêt (Forest Warrior), de Aaron Norris
* 1998 : La Colère du tueur (Logan's War: Bound by Honor), de Michael Preece (TV)
* 2000 : L'Homme du président (The President's Man), de Eric Norris et Michael Preece (TV)
* 2002 : Action Force (The President's Man: A Line in the Sand), de Eric Norris (TV)
* 2003 : Bells of Innocence, de Ali Bijan
* 2004 : Dodgeball ! Même pas mal !, de Rawshall Marshall Thurber
* 2005 : Walker, Texas Ranger: Trial by Fire, de Aaron Norris (TV)
* 2005 : Le sang du Diamant , de William Tannen

La biographie de Chuck Norris

Natif de Ryan, dans l'Oklahoma, Carlos Ray Norris a deux frères cadets, dont l'un est le producteur hollywoodien Aaron Norris. Ses parents sont tous deux de souches indienne (cherokee) et irlandaise. Alors qu'il n'a que douze ans, ses parents divorcent et il déménage en Californie avec sa mère et ses frères. C'est là qu'il finit ses études au lycée et se marie rapidement avec sa petite amie, Diane Holechek. Après son mariage, il rejoint l'US Air Force et est envoyé faire son service militaire à la base d'Osan, en Corée du Sud. C'est là qu'il acquiert le surnom de Chuck et qu'il commence à apprendre le Tangsudo.

Il retourne ensuite aux États-Unis, dans la base de March, en Californie. Il termine ses services à l'armée en août 1962 sans avoir pris part à un autre combat que les entraînements de la base. Il possède une ceinture noire en Tangsudo, Tae Kwon Do, et est le fondateur du Chun Kuk Do (La voie universelle). Il a également pratiqué le judo, le karaté et le ju-jitsu. Il est le fondateur de l'UFAF (United Fighting Arts Federation).

À son retour , il travaille pour la société Northrop et ouvre une école de karaté fréquentée par de nombreuses célébrités, dont Steve McQueen. Son fils Mike naît en 1963 suivi par sa fille Dina en 1964 et d'un second fils, Eric en 1965. L'année 1964 marque un tournant dans la vie de Chuck Norris : il rencontre Bruce Lee qui va lui donner un second rôle dans La Fureur du dragon en 1972. Malgré une amitié affichée entre les deux hommes, il semble cependant que leurs relations ont été parfois tumultueuses. En 1968, Norris devient champion de karaté dans la catégorie poids moyen, et en 1969, il remporte la triple couronne en karaté pour le record des tournois remportés dans l'année, et le titre de combattant de l'année pour le Black Belt Magazine. C'est en 1968 qu'il débute au cinéma, dans The Wrecking Crew. En 1970, son plus jeune frère Weiland meurt au Viêt Nam : Chuck lui dédicacera plus tard son film Portés disparus. En 1972, il joue avec Bruce Lee dans La fureur du dragon, et en 1974, McQueen l'encourage à prendre des cours d'art dramatique au MGM Studio, sous la férule de Jonathan Harris. Il enchaîne alors les succès avec des séries de films comme Invasion USA, Delta Force et Portés disparus.

Après trente ans de mariage, Norris et Holechek divorcent. En 1990, Norris a fondé l'association Kick Drugs Out of America, renommée depuis KICKSTART. Mais à la fin des années 1980, Norris ne remplit plus autant les salles, et les films Cannon, à l'origine de ses films est rachetée par la MGM après sa banqueroute. Il se tourne alors vers la télévision en se lançant dans la série Walker, Texas Ranger en 1993. Cette série est un succès : elle compte neuf saisons et continue d'être diffusée sur de très nombreuses chaînes à travers le monde. En 1998, il s'est remarié à l'ancien mannequin Gena O'Kelley qui lui a donné des jumeaux en 2002 : Dakota Alan Norris, un garçon, et Danilee Kelly Norris, une fille. En 2007 et 2008, il soutient et accompagne Mike Huckabee dans sa tentative d'être choisi comme candidat du parti républicain à l’élection présidentielle américaine de 2008.

Tout sur Chuck Norris

On pensait avoir tout vu en matière de notoriété. Mais un homme, un seul, fait mieux que tous les autres: Carlos Ray Norris, plus connu sous le nom de Chuck Norris. La notoriété phénoménale de «l'acteur» préféré de George W. Bush (c'est tout dire!) n'est pas tant due à une filmographie truffée de chefs-d'oeuvre qui marqueront pourtant à jamais l'histoire du cinéma d'auteur («Portés disparus», «Invasion U.S.A», «La fureur du juste», «L'exécuteur de Hong-Kong ») qu'à un phénomène que tous les accros du net connaissent, les «Chuck Norris Facts». Des aphorismes qui caricaturent les héros invincibles qu'il a joués avec tant de brio au cinéma. Exemples: «Chuck Norris ne se rase pas de peur de couper son rasoir», «Quand Chuck Norris dit «bonjour» à minuit, le soleil se lève». Et il y a de multiples perles comme celles-là sur la toile Même nos Christophe Darbellay et Christian Constantin cantonaux sont dépassés. Pour remonter leur cote, reste à lancer des «Darbellay Facts et «Constantin Facts»: «Quand Christophe Darbellay passe près d'un appareil photo, le flash s'illumine», «Quand Christian Constantin passe près de l'arbitre dans les vestiaires, l'arbitre trébuche». A vous de compléter le tableau afin de supplanter le grand Chuck.

Info sur Chuck Norris

Pas à 20 Minutes, hein, mais à l'Amérique et au monde en général. Le Walker Texas ranger dont la présence lors des primaires républicaines a permis de catapulter l’ineffable Mike Huckabee grâce à une pub mémorable, est de retour avec un livre. Dans un nouvel opus très nuancé, Black belt patriotism («Le patriotisme de la ceinture noire »), le «maître en arts martiaux, acteur et activiste politique» s’en prend aux «médias», aux «juristes gauchistes», et à «l’establishment de gauche» qui menacent «le cœur même de la Déclaration d’indépendance».
Comme Amazon permet de traquer les goûts des acheteurs en ligne, on apprend sur la fiche de l’ouvrage que «les consommateurs qui ont acheté ce livre achètent également»… la seule biographie disponible sur le marché de Sarah Palin. Ou quand une hockey mom rencontre un karate father : marions-les !